Retour aux sources
16/septembre/2010
Terre Mère, des
vacances de voyage passées, principalement au
Canada durant la période de la mousson qui se déroule
de façon dramatique au Pakistan et au nord de l'Inde.
Pourquoi des vacances de voyage ? Besoin de
retrouver les siens, de se poser, se reposer, se
refaire une santé.
Coup de coeur, je le préfère noir sans sucre, mais celui ci fut un vrai dessert, de retour à la Terre Mère ! Terrain connu par certains côtés mais des changements sautent au visage en reprenant le chemin des rencontres familiales et amicales. La joie profonde des retrouvailles. Le confort domestique simple et fonctionnel, les marchés du terroir, les librairies, les ballades nez au vent sans attirer l'attention, le distributeur automatique qui marche, le train à l'heure, le tarif affiché, la qualité et la diversité des produits, les rues sans amas d'immondices, les odeurs "normales" des transports publics, le papier dans les toilettes, pouvoir parler dans sa langue... La liste des signes d'un réel confort de vie est longue après ces mois passés en Asie centrale, en Inde, au Népal, au Tibet.
Qui l'emporte de la nature ou des déchets ? La pollution, l'environnement sont à l'ordre du jour ; thématique de riches ? Il s'agit de l'avenir de tous et cela interpelle profondément lorsqu'on constate au quotidien dans un grand pays émergent comme l'Inde à combien d'années lumières les choses en sont. Cela fait d'autant plus apprécier tous les efforts entrepris sur le sujet dans chaque pays rencontré, comme ici au Canada au bord du lac Rideau.
Au final de ce retour en Terre Mère, 15 heures séparent ces deux photos : la cathédrale Notre-Dame à Paris le 13 septembre, le mont Everest, juste avant d'atterrir à Katmandou, le lendemain.
Et 20 ans séparent les deux photos ci-dessus et ci-dessous. Un document exceptionnel, une photo prise par René de Bos, le 7 octobre 1990 du sommet de l'Everest, en contre bas Rombuk, où nous étions en juin dernier avec l'Everest à portée de main. René a été le premier néerlandais à avoir gravi l'Everest, l'année de ses 30 ans. (voir Liens). Vue d'en haut, vue d'en bas.
Coup de coeur, je le préfère noir sans sucre, mais celui ci fut un vrai dessert, de retour à la Terre Mère ! Terrain connu par certains côtés mais des changements sautent au visage en reprenant le chemin des rencontres familiales et amicales. La joie profonde des retrouvailles. Le confort domestique simple et fonctionnel, les marchés du terroir, les librairies, les ballades nez au vent sans attirer l'attention, le distributeur automatique qui marche, le train à l'heure, le tarif affiché, la qualité et la diversité des produits, les rues sans amas d'immondices, les odeurs "normales" des transports publics, le papier dans les toilettes, pouvoir parler dans sa langue... La liste des signes d'un réel confort de vie est longue après ces mois passés en Asie centrale, en Inde, au Népal, au Tibet.
Qui l'emporte de la nature ou des déchets ? La pollution, l'environnement sont à l'ordre du jour ; thématique de riches ? Il s'agit de l'avenir de tous et cela interpelle profondément lorsqu'on constate au quotidien dans un grand pays émergent comme l'Inde à combien d'années lumières les choses en sont. Cela fait d'autant plus apprécier tous les efforts entrepris sur le sujet dans chaque pays rencontré, comme ici au Canada au bord du lac Rideau.
Au final de ce retour en Terre Mère, 15 heures séparent ces deux photos : la cathédrale Notre-Dame à Paris le 13 septembre, le mont Everest, juste avant d'atterrir à Katmandou, le lendemain.
Et 20 ans séparent les deux photos ci-dessus et ci-dessous. Un document exceptionnel, une photo prise par René de Bos, le 7 octobre 1990 du sommet de l'Everest, en contre bas Rombuk, où nous étions en juin dernier avec l'Everest à portée de main. René a été le premier néerlandais à avoir gravi l'Everest, l'année de ses 30 ans. (voir Liens). Vue d'en haut, vue d'en bas.