Delhi, contrastes
lundi/mars/2010
Delhi : rendez vous
québécois au pluriel, retrouvailles de voyageurs, le
feu sur le parking Nehru, démarches administratives,
visite du fort rouge et du smiriti Ghandi, découverte
du métro... juste au moment de la fête des couleurs :
chacun se badigeonne ou reçoit de généreuses giclées de
couleurs vives !!! 10 jours différents.
Rencontres québécoises :
Jocelyne et Johanne sont en Inde pour 6 semaines et passaient à Delhi fin février, quel plaisir de les retrouver ! Claude haut en couleur avec sa femme Tatiana nous invitent à la maison... oasis québécoise si bienfaisante !
Moments intenses au smiriti Ghandi, la demeure où il vécu ses 144 derniers jours avant d'être assassiné le 30 janvier 1948 peu avant ses 80 ans. Empreintes de sandales sur le sentier menant au lieu de prière quotidienne. Un groupe d'enfants vient avec une ONG s'occupant des rejetés de l'école dans les bidonvilles. Je me suis retrouvée derrière leur animateur qui réclamait du sérieux pour une photo de groupe. Quelle aubaine, me voici à mimer des singeries pour les faire rigoler... bon joueur l'animateur ne les a pas grondés et nous avons bien ri ensemble !
Coup de chaud, nos voisins n'étaient pas sur place lorsque le bus a pris feu. Coup de chance, la bonbonne de gaz du bus n'a pas explosé. La famille des Vadrouilleurs (le camping car blanc) a repris la route juste après, venant de décrocher leurs 4 visas pakistanais sans l'appui de l'ambassade de France.
Rencontres québécoises :
Jocelyne et Johanne sont en Inde pour 6 semaines et passaient à Delhi fin février, quel plaisir de les retrouver ! Claude haut en couleur avec sa femme Tatiana nous invitent à la maison... oasis québécoise si bienfaisante !
Moments intenses au smiriti Ghandi, la demeure où il vécu ses 144 derniers jours avant d'être assassiné le 30 janvier 1948 peu avant ses 80 ans. Empreintes de sandales sur le sentier menant au lieu de prière quotidienne. Un groupe d'enfants vient avec une ONG s'occupant des rejetés de l'école dans les bidonvilles. Je me suis retrouvée derrière leur animateur qui réclamait du sérieux pour une photo de groupe. Quelle aubaine, me voici à mimer des singeries pour les faire rigoler... bon joueur l'animateur ne les a pas grondés et nous avons bien ri ensemble !
Coup de chaud, nos voisins n'étaient pas sur place lorsque le bus a pris feu. Coup de chance, la bonbonne de gaz du bus n'a pas explosé. La famille des Vadrouilleurs (le camping car blanc) a repris la route juste après, venant de décrocher leurs 4 visas pakistanais sans l'appui de l'ambassade de France.