monastères
06/Oct/2010
Plusieurs courants du
boudhisme sont présents au Sikkim : les plus connus et
relativement récents sont les bonnets jaunes (Guélupas
dirigés par le Dalaï Lama) ou les bonnets noirs, mais
aussi la branche conduite par le Karmapa, 35 ans. Son
monastère d'attache est à Rumpek mais sa résidence hors
Tibet qu'il a fuit voici une vingtaine d'années est à
Daramsala. Le gouvernement indien ne souhaitait pas
qu'il demeure aussi près de la frontière chinoise, il a
donc été installé à côté du Dalaï Lama à Daramsala.
Bien plus ancien est le courant Bon. Je ne connais pas
les différences théologiques. L'accueil y est aussi
ouvert et simple, les moinillons ont été si intrigués
par notre véhicule qu'ils ont tous visité les lieux 3
par 3, le moine référent ayant eu un geste ferme pour
tâter l'épaisseur de notre matelas, en connaisseur !
Rumtek, obédience du 17ème Karmapa.
Tashilompu, une grimpette de quarante minutes pour rejoindre le sommet et son foisonnement de stupas.
Le hall d'assemblée au rez-de-chaussée, à l'étage, les masques sont au repos et on cultive le sens du détail.
Tout près de Pelling, Pemayangsté, un monastère classique, deux étages et un dôme sur la terrasse supérieure. Un gigantesque mandala en 3D occupe une bonne partie. Les murs sont décorés des déités habituelles. Nous remarquons cependant quatre petites tentures masquant des Bouddhas. Curieux de nature nous soulevons les tentures, vous apprécierez la découverte : résiste t-il ou vit-il la plénitude du moment présent ?
Un gigantesque mandala en trois dimensions protégé par une vitre, ce qui rend la photo laiteuse.
Dans les fidèles symboles, nous retrouvons l'éléphant, soutenant le singe qui propulse le chien vers l'oiseau. Le monastère est en travaux, les enfants participent et transportent, deux par deux des petites charges de sable.
Et voici le cheval à la fleur de lotus, croqué dans la bibliothèque ; clin d'oeil en guise de cadeau d'anniversaire pour les 10 ans de Clara. Les chevaux et les lotus peuvent-ils être bleu ?
Rumtek, obédience du 17ème Karmapa.
Tashilompu, une grimpette de quarante minutes pour rejoindre le sommet et son foisonnement de stupas.
Le hall d'assemblée au rez-de-chaussée, à l'étage, les masques sont au repos et on cultive le sens du détail.
Tout près de Pelling, Pemayangsté, un monastère classique, deux étages et un dôme sur la terrasse supérieure. Un gigantesque mandala en 3D occupe une bonne partie. Les murs sont décorés des déités habituelles. Nous remarquons cependant quatre petites tentures masquant des Bouddhas. Curieux de nature nous soulevons les tentures, vous apprécierez la découverte : résiste t-il ou vit-il la plénitude du moment présent ?
Un gigantesque mandala en trois dimensions protégé par une vitre, ce qui rend la photo laiteuse.
Dans les fidèles symboles, nous retrouvons l'éléphant, soutenant le singe qui propulse le chien vers l'oiseau. Le monastère est en travaux, les enfants participent et transportent, deux par deux des petites charges de sable.
Et voici le cheval à la fleur de lotus, croqué dans la bibliothèque ; clin d'oeil en guise de cadeau d'anniversaire pour les 10 ans de Clara. Les chevaux et les lotus peuvent-ils être bleu ?