Tadjikistan, vallée Chok Dara
26/09/09 08:56
L’envie de remonter cette vallée de Chokh Dara
au départ de Khorog pour apercevoir les sommets de
Engels et Marx à plus de 7000m. Et une crevaison
facile à réparer avec de la colle.
Quelques villages de long de la rivière
une rivière facile, juste pour laver les pneus !
mais pas de trafic et nous serons bientôt seuls dans la montée vers le col. Pas la moindre indication, nous n’avons pas une bonne carte ni points GPS, seulement la boussole et l’information selon laquelle il faut demander aux bergers, une fois arrivés au lac le passage de rivière le plus aisé. Cela monte continuellement jusqu’à un lac, mais il est tout petit.
On tente vers l’ouest et voici le grand lac. Pas de rivière forte, c’est bon pour nous. Sommes à 6 km de la route à rejoindre, plein nord. On continue, mais la piste devient de plus en plus difficile. Une forte descente. Nous voyons en contre bas la route à rejoindre encore faut-il y arriver !!! Plus d’une heure pour ces derniers kilomètres, pierre par pierre, virage par virage, ruisseau par ruisseau et en bas... une rivière, mais une grosse rivière puis une courte pente très raide pour accéder à la route ! Pas possible de prendre de l’élan. Examiner les traces attentivement, ne plus trop réflechir et pleins gaz Pgaz, ne lâche pas ... on passe la rivière puis, ultime effort, Pgaz s’arrache sur cette foutue pente jusqu’à la route... traces blanches sur l’asphalte, sommes arrivés ! quel bon dodo après des dernières heures !
Quelques villages de long de la rivière
une rivière facile, juste pour laver les pneus !
mais pas de trafic et nous serons bientôt seuls dans la montée vers le col. Pas la moindre indication, nous n’avons pas une bonne carte ni points GPS, seulement la boussole et l’information selon laquelle il faut demander aux bergers, une fois arrivés au lac le passage de rivière le plus aisé. Cela monte continuellement jusqu’à un lac, mais il est tout petit.
On tente vers l’ouest et voici le grand lac. Pas de rivière forte, c’est bon pour nous. Sommes à 6 km de la route à rejoindre, plein nord. On continue, mais la piste devient de plus en plus difficile. Une forte descente. Nous voyons en contre bas la route à rejoindre encore faut-il y arriver !!! Plus d’une heure pour ces derniers kilomètres, pierre par pierre, virage par virage, ruisseau par ruisseau et en bas... une rivière, mais une grosse rivière puis une courte pente très raide pour accéder à la route ! Pas possible de prendre de l’élan. Examiner les traces attentivement, ne plus trop réflechir et pleins gaz Pgaz, ne lâche pas ... on passe la rivière puis, ultime effort, Pgaz s’arrache sur cette foutue pente jusqu’à la route... traces blanches sur l’asphalte, sommes arrivés ! quel bon dodo après des dernières heures !