désert et cratères
25/10/09 10:52
Passage de frontière très lent pour entrer dans le
pays, notre guide est là, cela facilite mais ne fait
pas écrire plus vite le calligraphe de service qui
remplit les formulaires les uns après les autres !
Finalement nous ne pourrons pas aller voir le site
Unesco de Konye Ourgentch. Cela me désole,
j’aurais bien sacrifié le cratère artificiel à
voir de nuit qui est à 5 heures de route pour passer
un peu de temps sur ce site, mais nous ne sommes pas
seuls.
Donc nous traversons le désert du Karakoum, le plus chaud d’Asie centrale, plein sud vers Davaza pour rejoindre de nuit ce foutu cratère.
La route est excellente. Seule animation, quelques chameaux en vadrouille. Leur robe est très sombre. Nous quittons la route pour rejoindre le cratère. Les 10 derniers kilomètres sont hallucinants : il fait nuit, la piste est en sable mou, nous roulons derrière le véhicule allemand dans lequel le guide a pris place. Aucune visibilité dans ces volutes de sable et de poussière. Seul choix pour Jacques tenter de garder la trajectoire, sans toute fois être trop proche, garder le cap sur les minuscules feux arrières du véhicule de tête sans pouvoir anticiper les dénivellations ni les virages ni les buissons dans une telle opacité. Ne pas caler, ne pas s’arrêter, monter, monter, ne pas lâcher le cap ! Bivouac au bord d’un cratère d’un diamètre de 30 mètres qui flambe d’une multitude de jets de gaz à l’air libre, ce cratère résulte des recherches minières soviétiques. Franchement pas intéressant du tout.
Lendemain pépère car nous ne sommes qu’à 4 heures de route de la capitale. Nous traversons l’ancien site du village de Darvaza rasé sur ordre du président qui trouvait le village moche.
Seuls témoins, les fours à pain que la tradition turkmène ne permet pas de démolir, ils s’effritent peu à peu.
En début d’après midi nous sommes dans la capitale. Je pense que le guide avait très envie de rejoindre sa petite famille au plus tôt. Et nous voici obligés d’aller à l’hôtel, en plein centre ville de surcroît ! Pgaz est garé derrière l’hôtel qui affiche 4 étoiles mais n’a même pas de parking.
Donc nous traversons le désert du Karakoum, le plus chaud d’Asie centrale, plein sud vers Davaza pour rejoindre de nuit ce foutu cratère.
La route est excellente. Seule animation, quelques chameaux en vadrouille. Leur robe est très sombre. Nous quittons la route pour rejoindre le cratère. Les 10 derniers kilomètres sont hallucinants : il fait nuit, la piste est en sable mou, nous roulons derrière le véhicule allemand dans lequel le guide a pris place. Aucune visibilité dans ces volutes de sable et de poussière. Seul choix pour Jacques tenter de garder la trajectoire, sans toute fois être trop proche, garder le cap sur les minuscules feux arrières du véhicule de tête sans pouvoir anticiper les dénivellations ni les virages ni les buissons dans une telle opacité. Ne pas caler, ne pas s’arrêter, monter, monter, ne pas lâcher le cap ! Bivouac au bord d’un cratère d’un diamètre de 30 mètres qui flambe d’une multitude de jets de gaz à l’air libre, ce cratère résulte des recherches minières soviétiques. Franchement pas intéressant du tout.
Lendemain pépère car nous ne sommes qu’à 4 heures de route de la capitale. Nous traversons l’ancien site du village de Darvaza rasé sur ordre du président qui trouvait le village moche.
Seuls témoins, les fours à pain que la tradition turkmène ne permet pas de démolir, ils s’effritent peu à peu.
En début d’après midi nous sommes dans la capitale. Je pense que le guide avait très envie de rejoindre sa petite famille au plus tôt. Et nous voici obligés d’aller à l’hôtel, en plein centre ville de surcroît ! Pgaz est garé derrière l’hôtel qui affiche 4 étoiles mais n’a même pas de parking.