pain, pâté, plov
25/10/09 10:41
Pain quotidien cuit en galette sur les bords
intérieurs de four en terre, pâtés à la viande ou aux
légumes cuits de même dans la rue ou encore énormes
chaudrons en fonte servant à la cuisson du plov
national, chaque jour nous aurons vu, senti ou
dégusté un de ces plats de base de la nourriture
ouzbèque.
Le pain est cuit tout au long de la journée, difficile d’en trouver dans les petits villages car la cuisson est familiale. Le four familial a ses motifs profilés dans la paroi interne. Au marché le pain est passé sous un chiffon huilé pour qu’il brille un peu plus, mais de ce fait il durcira plus vite encore ! L’art est dans la pâte et dans la forme avec au centre un motif géométrique ou quelques graines de sésame. Le livreur de pain passe avec son panier mais plus souvent à vélo avec ses sacs sur mesure.
Le petit pâté qui se mange en 2 ou 3 bouchées (attention cela jute facilement !) est préparé sur de grands plateaux. Pour le cuire sur les parois du four en terre, il faut les chauffer : brindilles sur braises pour accélérer la montée en température. Et hop on enfourne un par un les petits pâtés en les collant sur les parois en rang d’oignon, pas trop bas pour éviter de brûler, pas trop haut pour cuire quand même ! Une fois la fournée bien arrimée sur les parois on referme le haut du four avec une épaisse couverture. 10 à 15 minutes et ils seront prêts.
Le plov, plat national qui a ses déclinaisons selon les régions ou villages. Plat national qui a son temple dans la capitale : arriver avant midi trente sinon il ne reste plus grand chose.
Plat de riz préparé avec de l’huile de coton (pardi !), du riz, des carottes jaunes, de la viande et des épices (safran, curcumin, curry, poivre, baies, raisins...). Au marché on peut demander une préparation d’épices pour plov, mais il faut préciser pour combien de kilos de riz ! Les chaudrons de plov contiennent facilement 15 à 20 kg de riz. Au moment de servir on voit bien les strates de la cuisson : au fond le bain d’huile, puis les carottes jaunes coupées en julienne et enfin la masse de riz avec ses morceaux de viande. Mouton ou boeuf au choix selon les moyens. Une assiette contiendra une grosse louche de riz, quelques carottes, un ou deux morceaux de viande et un ou deux morceaux de gras... accompagnés de saucisson de cheval dans les hauts lieux de la gastronomie locale. Il y en a de délicieux et d’autres qu’on regrette d’avoir eu à les manger, mais il n’y avait pas d’autre choix !!!
Le pain est cuit tout au long de la journée, difficile d’en trouver dans les petits villages car la cuisson est familiale. Le four familial a ses motifs profilés dans la paroi interne. Au marché le pain est passé sous un chiffon huilé pour qu’il brille un peu plus, mais de ce fait il durcira plus vite encore ! L’art est dans la pâte et dans la forme avec au centre un motif géométrique ou quelques graines de sésame. Le livreur de pain passe avec son panier mais plus souvent à vélo avec ses sacs sur mesure.
Le petit pâté qui se mange en 2 ou 3 bouchées (attention cela jute facilement !) est préparé sur de grands plateaux. Pour le cuire sur les parois du four en terre, il faut les chauffer : brindilles sur braises pour accélérer la montée en température. Et hop on enfourne un par un les petits pâtés en les collant sur les parois en rang d’oignon, pas trop bas pour éviter de brûler, pas trop haut pour cuire quand même ! Une fois la fournée bien arrimée sur les parois on referme le haut du four avec une épaisse couverture. 10 à 15 minutes et ils seront prêts.
Le plov, plat national qui a ses déclinaisons selon les régions ou villages. Plat national qui a son temple dans la capitale : arriver avant midi trente sinon il ne reste plus grand chose.
Plat de riz préparé avec de l’huile de coton (pardi !), du riz, des carottes jaunes, de la viande et des épices (safran, curcumin, curry, poivre, baies, raisins...). Au marché on peut demander une préparation d’épices pour plov, mais il faut préciser pour combien de kilos de riz ! Les chaudrons de plov contiennent facilement 15 à 20 kg de riz. Au moment de servir on voit bien les strates de la cuisson : au fond le bain d’huile, puis les carottes jaunes coupées en julienne et enfin la masse de riz avec ses morceaux de viande. Mouton ou boeuf au choix selon les moyens. Une assiette contiendra une grosse louche de riz, quelques carottes, un ou deux morceaux de viande et un ou deux morceaux de gras... accompagnés de saucisson de cheval dans les hauts lieux de la gastronomie locale. Il y en a de délicieux et d’autres qu’on regrette d’avoir eu à les manger, mais il n’y avait pas d’autre choix !!!