Oulan Bator
05/07/09 02:08
OULAN BATOR,
une pancarte branlante annonce la
capital
e 25 km avant. Commencent les
mélanges contrastés : habitations modernes et
enclos entassés de maisonnettes et yourtes.
Ventes de troupeaux le long de la route. Trafic
de minibus bondés. Circulation de camions
chargés de peaux de moutons, de briques ou de
citernes d’eau mais aussi luxueux land
cruiser toyota aux vitres de verre teinté. La
richesse côtoie la pauvreté. Les concerts de
klaxons commencent.
Tout le trafic doit franchir un passage à niveau, c’est à qui force le passage sur la droite et encore plus à droite ! Il nous faudra presque 2 heures pour rejoindre la bien nommée « Oasis », une guest house accueillante où l’on va pouvoir se poser, laver du linge, jouir d’une tranquillité totale et aborder la ville en taxi. Repos et détente pour le conducteur qui n’aime pas du tout les villes, mais pas du tout !
Nous cherchons des cartes du sud pour découvrir le désert du Gobi dès la semaine prochaine. Internet pour les contacts avec les uns et les autres... pas de nouvelles de la famille Perret qui a quitté le Beaujolais peu de temps après nous. Coup de chance un wifi marche, premier contact skype avec les enfants et avec ma soeur. Le bonheur de s’entendre, de rire ensemble, d’avoir des nouvelles fraîches, de voir le petit Casimir en face de soi ! Je peux tester l’actualisation de la page d’accueil, cela m’encourage pour continuer. Le plaisir d’écrire est intact et je découvre grâce à Martine et Françoise l’écriture épurée des haikus, l’essentiel en trois lignes, un superbe défi qui m’enchante.
Nous nous préparons au sud. Cartes, itinéraires, provisions, nous quittons lundi 6 juillet la capitale. Pas envie de découvrir ici la grande fête nationale du Nadam les 11 et 12 juillet, nous essayerons d’en vivre un dans un village ou dans une petite ville...à suivre.


Tout le trafic doit franchir un passage à niveau, c’est à qui force le passage sur la droite et encore plus à droite ! Il nous faudra presque 2 heures pour rejoindre la bien nommée « Oasis », une guest house accueillante où l’on va pouvoir se poser, laver du linge, jouir d’une tranquillité totale et aborder la ville en taxi. Repos et détente pour le conducteur qui n’aime pas du tout les villes, mais pas du tout !
Nous cherchons des cartes du sud pour découvrir le désert du Gobi dès la semaine prochaine. Internet pour les contacts avec les uns et les autres... pas de nouvelles de la famille Perret qui a quitté le Beaujolais peu de temps après nous. Coup de chance un wifi marche, premier contact skype avec les enfants et avec ma soeur. Le bonheur de s’entendre, de rire ensemble, d’avoir des nouvelles fraîches, de voir le petit Casimir en face de soi ! Je peux tester l’actualisation de la page d’accueil, cela m’encourage pour continuer. Le plaisir d’écrire est intact et je découvre grâce à Martine et Françoise l’écriture épurée des haikus, l’essentiel en trois lignes, un superbe défi qui m’enchante.
Nous nous préparons au sud. Cartes, itinéraires, provisions, nous quittons lundi 6 juillet la capitale. Pas envie de découvrir ici la grande fête nationale du Nadam les 11 et 12 juillet, nous essayerons d’en vivre un dans un village ou dans une petite ville...à suivre.