une nouvelle frontière
05/07/09 01:39
Une ligne sur la carte,
un coup de tampon dans le passeport
et tout un monde à découvrir.
1er juillet 2009, nous entrons en Mongolie, un autre rêve qui prend corps. Les images des nomades, des yourtes, des troupeaux, d’une méga capitale concentrant la moitié de la population du pays tournent dans la tête. Oui, les paysages changent soudain. Après un mois de plat pays en Russie jalonné de forêts, champs, forêts, champs c’est un bonheur de retrouver des reliefs, de découvrir de grands espaces à perte de vue. Des yourtes blanches se distinguent ici et là. D’immenses troupeaux de vaches, chèvres, moutons et chevaux ondulent sur les collines. Les gardiens sont à cheval, une longue perche en main. Liberté de mouvement, vitesse de déplacement, peu de chiens aux alentours.
Premiers contacts décontractés, les gens sourient volontiers, les enfants jouent dans les petites rivièresoù les animaux vont venir piétiner pour boire et les adultes faire leur toilette après la lessive. Avant de rejoindre Oulan Bator et son million d’habitants, nous mettons le cap sur Amarbayasgalan, le plus ancien monatère boudiste du pays, sans doute épargné des destructions massives du fait de son éloignement de la capitale. Pistes correctes pour Pgaz et le conducteur heureux de retrouver la terre battue. On respire. On goûte ces nouveaux horizons dégagés.
Une dizaine de moinillons s’échappent du monastère un grand sac en main, c’est la chasse aux détritus, demain il y aura une grande cérémonie. Nous discutons avec une jeune femme responsable d’un camp d’accueil de méditation. Nous dégustons notre premier thé mongol : thé noir, salé avec du lait. Le soir de retour vers la route principale menant à Oulan Bator nous rencontrons nos premiers voyageurs ! Christian et Ania sont partis d’Allemagne pour 2 ans avec un gros camion aménagé par leurs soins. Pgaz semble un confetti à côté ! Plaisir d’une soirée joyeuse et décontractée autour d’un repas. C’est amusant comment chacun définit ce qui est, pour lui, nécessaire et suffisant. L’un pèse 3,5 tonnes l’autre dépasse les 9 tonnes. Nous sommes loin du baluchon du moine ambulant !
un coup de tampon dans le passeport
et tout un monde à découvrir.
1er juillet 2009, nous entrons en Mongolie, un autre rêve qui prend corps. Les images des nomades, des yourtes, des troupeaux, d’une méga capitale concentrant la moitié de la population du pays tournent dans la tête. Oui, les paysages changent soudain. Après un mois de plat pays en Russie jalonné de forêts, champs, forêts, champs c’est un bonheur de retrouver des reliefs, de découvrir de grands espaces à perte de vue. Des yourtes blanches se distinguent ici et là. D’immenses troupeaux de vaches, chèvres, moutons et chevaux ondulent sur les collines. Les gardiens sont à cheval, une longue perche en main. Liberté de mouvement, vitesse de déplacement, peu de chiens aux alentours.
Premiers contacts décontractés, les gens sourient volontiers, les enfants jouent dans les petites rivièresoù les animaux vont venir piétiner pour boire et les adultes faire leur toilette après la lessive. Avant de rejoindre Oulan Bator et son million d’habitants, nous mettons le cap sur Amarbayasgalan, le plus ancien monatère boudiste du pays, sans doute épargné des destructions massives du fait de son éloignement de la capitale. Pistes correctes pour Pgaz et le conducteur heureux de retrouver la terre battue. On respire. On goûte ces nouveaux horizons dégagés.
Une dizaine de moinillons s’échappent du monastère un grand sac en main, c’est la chasse aux détritus, demain il y aura une grande cérémonie. Nous discutons avec une jeune femme responsable d’un camp d’accueil de méditation. Nous dégustons notre premier thé mongol : thé noir, salé avec du lait. Le soir de retour vers la route principale menant à Oulan Bator nous rencontrons nos premiers voyageurs ! Christian et Ania sont partis d’Allemagne pour 2 ans avec un gros camion aménagé par leurs soins. Pgaz semble un confetti à côté ! Plaisir d’une soirée joyeuse et décontractée autour d’un repas. C’est amusant comment chacun définit ce qui est, pour lui, nécessaire et suffisant. L’un pèse 3,5 tonnes l’autre dépasse les 9 tonnes. Nous sommes loin du baluchon du moine ambulant !