Lima, 9 millions d'habitants
(null)/(null)/(null) (null)
Une capitale... pour nous c'est toujours une zone
délicate : comment se repérer dans les lieux, où
trouver un endroit pour se poser, comment vivre au
milieu de tant d'activités... on a trouvé (bouche à
oreille) un petit espace sécure dans uns hotel pour
backpackers à Miraflorès. Lima ce sont près d'une
douzaine de grands quartiers autour du centre,
certains plus populaires que d'autres et chacun avec
son caractère. Le vieux Lima recèle bien des églises
autour de la cathédrale : chaque ordre y a son
couvent et son église. Pas de photos... donc rien à
vous montrer de ces églises richement décorées dans
un style assez baroque. Des musées ? oui, on a bien
aimé le musée Larco quelle créativité des potiers !!!
les réserves comptent plus de 50 000 poteries et la
sélection présentée est agréable à découvrir avec une
libre expression des exploits sexuels humains et
animaux au sous sol ! que peut on bien exprimer sur
une poterie !
Lima attire les gens en quête de travail. Un chauffeur de taxi doit débourser 50 soles pour louer son véhicule + 50 soles d'essence avant de ganger sa première sole de la journée : une sole = 22 ct d'euros.
Nous avons repris la route vers le sud par la côte sur la Pan américaine vers Pisco, Paracas et Nasca. Du brouillard (la guadua), du désert, d'immenses poullaillers en batterie, des espaces de séchage des piments, maïs, ail... et on s'approche de la zone de Pisco ebranlée par un tremblement de terre mi aout en fin d'après midi. Nous traversons Ica : des tonnes de gravats, des cantines de fortune, des tentes et des abris en natte de jonc. Les personnes appellent à l'aide, d'autres déplacent les ruines... on croise deux volontaires français un peu découragés par le manque de coordination et le peu de poids des maires locaux contre la corruption.
Lima attire les gens en quête de travail. Un chauffeur de taxi doit débourser 50 soles pour louer son véhicule + 50 soles d'essence avant de ganger sa première sole de la journée : une sole = 22 ct d'euros.
Nous avons repris la route vers le sud par la côte sur la Pan américaine vers Pisco, Paracas et Nasca. Du brouillard (la guadua), du désert, d'immenses poullaillers en batterie, des espaces de séchage des piments, maïs, ail... et on s'approche de la zone de Pisco ebranlée par un tremblement de terre mi aout en fin d'après midi. Nous traversons Ica : des tonnes de gravats, des cantines de fortune, des tentes et des abris en natte de jonc. Les personnes appellent à l'aide, d'autres déplacent les ruines... on croise deux volontaires français un peu découragés par le manque de coordination et le peu de poids des maires locaux contre la corruption.